Voyage ancestral

Voyage ancestral .

Voyage ancestral

Visitez la patrie de vos ancêtres

Visitez les villes et villages où vos ancêtres ont vécus, les églises dans lesquelles ils ont priés, la campagne qu’ils ont parcouru et l’image de leur vie. Les raisons de quitter leur patrie vous deviendra plus lumineux.

Une visite au-delà des destinations touristiques

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Histoire de l'émigrationHistoire familialeNoms Croate
Histoire de l'émigration
L’immigration à grande échelle de l’Europe a débuté avec les Irlandais début du 19e siècle, lorsque la population irlandaise dense et appauvrie souffrait de la famine.
Le visage de l’immigration a changé à la fin du 19e siècle et au début du 20e siècle, avec l’arrivée d’émigrants d’autres origines, dont l’existence chez eux était menacée ou qui étaient très pauvres.
Après la Grande-Bretagne (11,4 millions), l’Italie (9,9 millions), l’Irlande (7,3 millions), l’Autriche-Hongrie devient la quatrième plus grande source d’émigration avec 5,5 millions de personnes.
Dans les années 1860 et les années 1870, les émigrés de la Monarchie des Habsbourg étaient seulement de quelques milliers par an, principalement de Dalmatie. C’est à partir de la récession économique des années 1880 que l’émigration vers l’outre-mer a connu une forte hausse passant à 20.000 personnes par an et ce nombre n’a cessé d’augmenter. En 1892, le nombre d’émigrants était de 50.000 et en 1904 plus de 100.000 personnes quittèrent leurs villages. Les Croates ont migré depuis plus de 500 ans. Avant la découverte de l’Amérique, les Croates ont migré (ou ont été pris en esclavage) vers la Turquie, l’Autriche,Venise, l’Espagne et d’autres parties d’ Europe occidentale. Les galions croate commerçaient régulièrement avec l’Espagne, le Portugal, la France, l’Angleterre, Venise et les Ottomans. Du 16e au 18e siècle les riches commerçants de la République de Ragusa (Dubrovnik) avaient leurs représentants commerciaux bien établis dans tous les grands ports d’Europe ainsi qu’une grande communauté croate installée à Goa (Indes), aujourd’hui encore dans la ville de Goa on vénère St Blaise, le protecteur de Dubrovnik.

L’émigration vers le nouveau Monde

La nouvelle de la découverte d’Or en Californie (1848-1855) est arrivée jusqu’aux oreilles des pauvres d’Europe qui ont tenté leur chance et sont partis pour le nouveau monde en espérant une vie meilleure. La majorité d’entre eux travaillaient dans des conditions extrèmement pénibles.
Lorsque la fièvre de l’or se calma certains mineurs chanceux qui avaient réussi à épargner suffisamment d’argent achetèrent des terres agricoles et devinrent les pionniers de la viticulture.
La plupart des émigrants de Croatie partirent pour l’Amérique, particulièrement après les années 1880 lorsque les lois sur l’immigration étaient plus favorables et le travail en abondance. Ils partirent aussi pour le Canada, l’Amérique du Sud, l’Afrique du Sud, l’Australie et la Nouvelle-Zélande.
Souvent, une première personne quittait le village, travaillait dur pour envoyer de l’argent afin que d’autres (frères, soeurs, cousins et autres villageois) puissent venir le rejoindre. Aujourd’hui, nous pouvons trouver dans certaines villes un plus grand nombre de descendants des premiers immigrants que dans le village du pays d’origine. Un exemple est le village de Podgora, en Dalmatie, d’où un grand nombre de jeunes hommes ont émigré vers la Nouvelle-Zélande et ont travaillé comme «gum diggers». Nombreux de leurs descendants sont aujourd’hui installés à Auckland, à Hamilton.
La Croatie était partagée et gouvernée pendant une grande partie de son histoire par l’Empire Austro-Hongrois, la République de Venise, la France, la Turquie, le Royaume de Yougoslavie et depuis 1945 par la République de Yougoslavie. En 1991 la Croatie devient une république indépendante.
Lorsque les Croates émigrèrent, ils partirent soit comme citoyens d’Autriche, de Venise, d’Hongrie ou de Turquie, de Yougoslavie… Ethniquement, ils ont toujours été Croates, mais en matière d’immigration ils étaient identifiés par leurs pays d’accueil comme des ressortissants des pays mentionnés ci-dessus indépendamment de leur origine ethnique.

Pourquoi ont-ils quitté leurs foyers?

Dans la deuxième moitié du 19e siècle, le développement industriel des pays de l’est et du sud de l’Europe était à ses débuts, le majorité de la population vivait dans les villages et dépendait de l’agriculture pour survivre. Les familles étaient nombreuses, quatre enfants et plus. Ils vivaient des moments très difficiles avec ces nombreuses bouches à nourrir. Certaines familles envoyaient un fils vers l’Amérique, l’Australie, la Nouvelle-Zélande … pour qu’il travaille et envoie de l’argent pour aider à la maison. Certains d’entre eux reviendront chez eux après quelques années mais d’autres sont restés dans leur nouvelle patrie.
En Dalmatie, la situation est devenue encore pire au début du 20e siècle, lorsque le phyloxera (maladie des vignes, causée par un puceron) a dévasté les vignes provoquant ainsi un exode des jeunes à la recherche de travail dans les pays d’outre-mer.

Comment sont-ils arrivés à leurs destinations?
Le départ se faisait parfois des ports de Rijeka ou de Trieste mais l’itinéraire le plus accessible (moins de contrôles frontaliers) était les routes jusqu’à Hamburg, Breman, Rotterdam, Le Havre, Southampton, Liverpool De plus les billets étaient moins chers.
Les émigrés de la deuxième vague utilisèrent un réseau ferroviaire développé, reliant les villages les plus éloignés d’Europe Centrale aux grands ports.
Cet énorme déplacement intercontinental a rapidement attiré un grand nombre d’intermédiaires offrant des services divers tels les billets de train ou de bateau à vapeur, et même la gestion complète du passage d’un émigrant de son village natal à la destination finale. De nombreux agents de change fournissaient des services bancaires, tels que l’échange d’argent, le transfert d’argent aux familles dans le pays d’origine. Très vite des agents de recrutement, des banquiers, des représentants de compagnies maritimes se rendirent eux-mêmes dans les villages les plus reculés, à la recherche de clients prêts à tenter leur chance à l’étranger.

Les compagnies maritimes

Les grandes compagnies maritimes transcontinales: Norddeutscher Lloyd (Bremerhaven), Hamburg – Amerika Linie (Hambourg), Cunard Line (Liverpool), White Star Line (Liverpool), les Pays-Bas – America Line (Rotterdam), Red Star Line (Anwterp), la Compagnie Générale Transatlantique (Le Havre), Great Western Steamship Company, fondée en 1836 à Bristol, le Royal Mail Steam Packet Company, (fondée à Londres en 1839). La Cunard construit « le Britannia» pour lancer un service régulier de bateau à vapeur transocéanique au départ de Liverpool à Boston via Halifax.
Au début du 20e siècle, l’un des plus grand transporteur dans le monde, Hambourg – America Line (Hapag), introduit en 1872 un service hebdomadaire vers New York. Rapidement les navires de l’Hapag sont appelés à Baltimore, en Amérique centrale, au Mexique, en Amérique du Sud, en Chine, au Japon et en Australie.
En 1873 fût introduit une ligne d’été Hambourg -Anvers-Montréal, et une ligne d’hiver de Hambourg-Anvers-Boston. Afin de contrer la concurrence de la Méditerranée, l’Hamburg-Amerika Linie et la Norddeutscher Lloyd et ont présenté un service reliant les ports de Naples et de Gênes à New York (1897-1905). En 1914, il avait 175 grands navires, naviguant sur les cinq continents et employant plus de 20.000 personnes! Pour la seule année (1912) Hapag fit construire le Titanic et l’Imperator, qui a été annoncé comme le plus grand navire du monde. Ce monstre transportait 700 passagers en 1ère classe, 600 en 2ème, 940 dans la 3ème et 1750 dans la 4ème.

De quels ports partaient-ils?

Les premiers ports de l’émigration furent Liverpool & Bremerhavenwere, rapidement rejoint par Hambourg, puis par de nombreux autres, dont les plus importants – Rotterdam, Anvers, Le Havre, Southampton, Gênes et Naples. Trieste et Rijeka mirent un service en place pour New York qu’aux alentours des années 1900, à la fin de la grande vague d’émigration, mais ne purent rivaliser avec les ports de l’Atlantique dans le prix et le confort.
Déjà, après 1850, la concurrence entre les ports et les expéditeurs est devenue féroce. À la suite de cela, les prix diminuèrent et la qualité de service s’améliora. Pourtant, les ports de la Méditerranée restèrent nettement plus chers, et le voyage pour New York durait deux semaines, par rapport à une semaine d’un port de l’Atlantique.
Beaucoup de jeunes hommes ont opté pour les ports par défaut, afin d’éviter le service militaire qui durait plusieurs années. Ainsi, autre que Hambourg et Brême, les ports de choix sont aussi Rotterdam, Anvers, Le Havre, Southampton, Liverpool et Gênes.

Les conditions de vie sur les navires

La capacité moyenne des grands bateaux construits par la suite était de plus de 2.000 passagers, dont au moins trois quart pour la 3e classe. Selon une estimation, le coût élevé du voyage en 1e classe (petite) était en grande partie subventionné par le grand nombre de passagers de la partie «soute-cargo», c’est-à-dire que c’est la 3e classe qui a généré des profits énormes aux expéditeurs. De petits ports, comme Rijeka et Trieste, embarquaient très peu de passagers de 1e classe.
Par conséquent, les navires construits au tournant du siècle ont eu une 3e classe, plus grande et plus confortable avec quatre lits, et même deux lits couchettes à la place des anciens dortoirs communs.
Les conditions dans une telle 3e classe étaient humbles et quelques expéditeurs ont même présenté une 4e classe. Quelques bateaux contenaient toujours des dortoirs communs, avec des douzaines ou même des centaines des lits superposés dans une promiscuité difficile à vivre.
Un grand nombre de plaintes de passagers ainsi que des photos trouvées dans les archives prouvent les fausses descriptions proposées dans les brochures commerciales des sociétés maritimes.

A la recherche des vos racines croate

Bien que nous soyons une agence de voyages et que nous ne faisons pas des recherches généalogiques, nous pouvons vous aider à obtenir des informations sur l’Histoire de votre famille.
Envoyez-nous les informations dont vous disposez : noms, lieu de naissance, période de l’émigration. Nous verrons quelles informations nous pouvons trouver pour vous dans les villages de vos ancêtres.
Vous n’avez qu’une vague idée de vos racines croates, vous n’avez qu’un nom d’un village ou d’une région ? Qu’à cela ne tienne, nous pouvons peut-être vous aider.
Parfois, quel que soit l’effort fourni , il n’est pas possible de retrouver vos racines familiales car certains documents écrits (registres paroissiaux) ont été détruits, par accident ou lors des nombreuses guerres qui ont ravagé la Croatie par son histoire turbulente.
En tous cas une visite sur place, là où tout a commencé, de voir et de sentir vous-même d’où vos grands-parents ou arrières-grands-parents sont originaires, peut-être même rencontrer un certain parent éloigné, augmentera non seulement votre expérience et vos pensées sur vos racines familiales, mais changera aussi la manière dont vous perceviez vos ancêtres.

Patronyme

La fonction première des noms de famille est l’identification, ils ont une importante fonction dans l’arbre généalogique.
Ils indiquent le moment et le lieu d’une famille ou d’une lignée, et le développement, l’expansion, la ramification et la diffusion de celle-ci. Les noms de famille peuvent être considérés comme des informations qui suivent les migrations dans un nouveau lieu d’établissement, dans le pays ou à l’étranger.

 

Origine des noms de famille

A l’origine les gens n’avaient pas de noms – ils n’avaient que des prénoms. Lors de certaines périodes de développement social l’utilisation du prénom seul suffisait.pour déterminer et identifier une personne.
C’était aussi le cas en Croatie. Il devint nécessaire pour identifier une personne spécifique d’ajouter au prénom des informations supplémentaires telles que: – la profession (Exemple : le Feronnier -Kovač Marko), les relations (le fils de Peter Marko), d’origine (Marko de la ville…), de l’apparence (grand Marko) etc.
Les noms ont été introduits durant le système féodal. Les noms de famille des Patriciens devinrent nécessaires pour assurer les droits successoraux, la continuité de la réputation, de la position et de la propriété et à préserver pour la postérité les privilèges acquis. Les autorités féodales commencèrent à utiliser des noms de famille pour leurs serfs pour mieux préciser et noter les obligations héréditaires de ces derniers.

 

Le concile de Trente

Une importante décision pour établir le système des noms de famille a été introduit par le concile de Trente (1545.-63.) à Rome qui contraint tous les curés à organiser et à tenir des registres de la paroisse contenant les noms, prénoms, date de naissance, baptême, mariage et décès de toutes les familles. L’Eglise catholique avait besoin de toutes ces informations pour éviter les mariages consanguins ou indécents, mais aussi pour la collecte des taxes…
Par ces mesures administratives prises par les autorités laïques et écclésiastiques, les noms de famille se sont développés à partir d’une variété de noms et surnoms et devinrent des noms permanents et héréditaires. La transmission se fera de père en fils (les femmes prenant le nom de leur époux au mariage). Ainsi, les noms de famille croates apparaissent relativement tôt et sont parmi les plus anciens d’Europe.

 

Dans les pays voisins de la Croatie

Mentionnons que le système des noms de famille dans les pays voisins de la Croatie est sensiblement différent. Par exemple, l’Eglise orthodoxe n’utilsait pas le même système de noms de famille et ce jusqu’au début du 20e siècle. Ils avaient un système patronymique dans lequel l’individu est qualifié et déterminé par le nom personnel de son père (par exemple : Peter fils de Marko est Marko Petrovic). Ainsi, ce « nom » n’est pas héréditaire mais change de génération en génération, selon le nom du père (ce système n’était pas appliqué par l’Eglise orthodoxe sur le territoire de la Monarchie des Habsbourg, où le système de nom de famille était réglementé). Dans l’ Empire ottoman l’utilisation des noms de famille (de manière héréditaire et permanent) a été intoduit lors des grandes réformes dans les années 1920.
Durant l’Histoire croate les noms de famille s’orthographieront de différentes manières car la Croatie était administrée par de multiples gouverneurs. Ainsi les officiers de ces autorités utilisaient des versions orthographiques variées du latin, allemand, hongrois, italien …
Voici des exemples sur la façon d’écrire le nom de famille Blaškovic: Blaschkowitsch, Blashcouich, Blaskouicz, Blaskovich, Blaskovits, Blaskowits, Blaskowych…
Avec la standardisation de la langue croate littéraire au milieu du 19e siècle, la tendance était de corriger les noms de famille écrit avec l’orthographe étrangère. On peut encore retrouver ces anciennes formes d’écriture des noms croates dans les pays de l’ex-empire autrichien.
De nos jours des formes diverses d’orthographe de noms de famille croate se rencontrent surtout en Amérique, au Canada, en Australie, en Nouvelle Zelande où ils se sont ajustés à la langue anglaise. Un exemple typique de changement est la terminaison en ić qui se transforme – en ich. (exemple: Malcović devient Malkovich ou š se transforme en sh (exemple:Šimunovic devient Shimunovich).
Parfois l’orthographe reste inchangée mais la prononciation change sensiblement.

 

Quelques noms dalmates:

Agić Agich
Akčić Akcich
Alumenić Alumenich
Anić Anich
Antičević Antichevich
Anušić Anusich
Babić Babich
Bacalić
Ban Banović Banovich
Barcovich
Bartulović Bartulovich
Batoš Batošić Batosich Batoshich
Batur
Bekavac
Beroš Beros Berosh
Beroš Berosh
Bezmalinović Bezmalinovich
Bigavich
Bilonić Bilonich
Bodlović Bodulović Bodulovich Bodlovich
Bogunović Mrkušić Bogunovich Mrkushich Mrkusich
Borić Borich
Botun
Brkulj
Budalović Budalovich
Buzetich
Carnečević Carnećević Carević
Čakić Chakich
Čuić Chuich
Dean Deanović Deanovich
Devčić Devcich
Divić Divich
Dogiacovich
Domančić Domancich
Dominović
Duduk
Filipović Filipovich
Galiot
Gareljić Gareljich Garelich Garelic
Gašpar Gašparović Gaspar Gasparovich
Glunčević Gluncevich Glunchevich
Gobić Gobich
Goičić Goicich Goichich
Granić Granich
Herceg Erceg
Hrstić Arstić Harstich Hrstich Arstich
Ivanac
Jakić Jakich
Jakir

Jozipović Josipovich Jozipovich
Jugović Jugovich
Juretić Juretich
Jurić Jurich
Jurišić Jurishich
Kalačić Kalaćić Kalacich Kalachich
Karagić Karagich
Katušić Katusich Katushich
Klarić Klarich
Klarić Klarich
Knezović Knezovich
Kokić Kokičević Kokich Kokicevich Kokichevich
Kostadinović Kostadinovich
Krečić Krecich
Kristić Kristich
Kržanić Krzanich
Kunac Kunčević Kuncevich Kunchevich
Kupić Kupich
Kurte Kurtić Kurtich
Lampić Lampich
Letica Letičić Letišić Leticić Leatich Letisich
Linčir Linćir Linchir
Lučić Lucich
Luić Luich
Lunjević Lunevich
Males
Marinović Marinovich
Markovinović Markovinovich
Maršić Marsich Marshich
Maslardić Maslardich
Matić Matich
Matijašević Matiašević Matiasevich
Medić Medich
Miličić Milicich
Miliza
Mišić Misich
Mrkušić Mrkusich
Mrnjavac Marnavac
Mrsić Marsich
Murica
Muzalovich
Nola
Novak
Pahalović Pahalovich
Papić Papich
Pavličević Pavlicevich
Pavlinović Pavlinovich
Pavlović Pavlovich
Pavlović Pavlovich
Perić Perich

Pilića Pilicha Pilić Pilich
Pilipović Filipović Pilipovich Filipovich
Pivac Pivčević Piucevich Pivcevich
Pivčević Pivac Pivcevich
Pualović Pualovich
Puarić Puharić Puharich
Radić Radich
Radojković Radojkovich
Radonić Radonjić Radonich Radonjich
Raos
Ribarović Ribarević Ribarovich Ribarevich
Ribičić Ribichich Ribicich
Rosandić Rosandich
Roščić Roschich Roscich
Runac
Runović Runovich
Sanković Sancovich Sankovich Sanko
Sipedecovich
Sipedeković Sipedekovich
Sisarić Sisarich
Skako Scocisevich
Sokol
Srzentić Srzentich
Staničić Stanicich Stanichich
Stojković Stojkovich Stoikovich
Sumić Sumich
Škanjur Škanjurević Scagniarevich Skanjur Skanjurevich
Škaričić Skaricich
Škrabić Skrabich
Šoše Šošić
Šošić Sosich
Španić Španjić Spanich Spanjich
Šunde Šundić Sunde Sundich
Šušković Suskovich
Tabaković Tabacovich
Taraš Tarašević Tarasevich Taras
Tomaš Tomash
Topić Topich
Ursić Ursich
Vela Velić Veličević Vela Velich Velicevich Velichevich
Velić Velich
Vilović Vilovich
Visković Viskovich
Vodanović Bodanovich
Vranješević Vranesevich Vranjesevich
Vrsalko Vrsaljko
Vučak Vucak Vuchak
Zelić Zelich
Žamić Zamich
Žarničević Zarnichevic

Visitez les villages de vos ancêtres, mais aussi en apprendre plus sur l’histoire croate et son patrimoine culturel. Écouter la langue que parlaient vos ancêtres, éventuellement en apprendre les bases, entendre les chansons qu’ils avaient l’habitude de chanter, sentir le climat où ils ont vécu, en apprendre davantage sur les coutumes locales qu’ils ont laissé derrière eux, goûter la nourriture qu’ils mangeaient …

Une expérience complète du pays de vos ancêtres, ainsi vous arriverez à mieux le comprendre et à être fier de vos racines!